On mesure une tour à son ombre et les grands hommes au nombre de leurs détracteurs.
Ce jeudi 30 juillet 2020 aura lieu par visioconférence la conférence des chefs d’États et de gouvernements de la CEEAC, des travaux qui seront présidés par le numéro un Gabonais Ali Bongo Ondimba, en sa qualité de Président en exercice de la CEEAC.
Voilà qui vient balayer d’un revers de la main les allégations folles et irresponsables de certains sinistres individus, à l’esprit simple et à la moralité douteuse, adeptes des méthodes néocolonialistes, spécialistes de l’ingérence et de la déstabilisation en l’occurrence Bruno Fuchs et Jean-Luc Mélenchon, président de la France insoumise qui prétendaient qu’Ali Bongo Ondimba n’était plus à la tête de son pays depuis ses ennuis de santé survenus en octobre 2018.
Voici donc la réponse du chef de l’État Gabonais à ces deux agités du dimanche, qui n’ont visiblement aucune connaissance des faits réels. Le caractère inélégant de leurs propos est simplement déplorable et pitoyable, mais surtout emmène à s’interroger sur la nature de leurs intentions.
Car comment comprendre que des personnes qui ne vivent pas au Gabon avance l’évidence de troubles et de violences alors qu’il n’en est rien? Comment expliquer que l’on puisse tirer à boulet rouge sur un homme qui n’a jamais manqué à une de ses obligations constitutionnelles, et respecte scrupuleusement les traditions républicaines?
Un homme qui est en première ligne de la lutte contre la pandémie de Covid-19, aussi bien à l’échelle nationale, qu’internationale. Comment vouloir faire croire que dans un pays où les institutions fonctionnent normalement, avec un gouvernement légitime, la situation serait alarmante ? C’est simplement ridicule l’objectif visé est clairement ailleurs.
Dans tous les cas Ali Bongo Ondimba est bel et bien à la tête de son pays. Et est à la tâche quotidiennement pour le bien-être des Gabonais.
