Pour prévenir contre d’éventuelles violences, les acteurs politiques du Congo-Brazzaville se sont réunis afin d’échanger sur la tenue des prochaines échéances électorales. Un fait marquant vu le climat post-électoral délétère en 2016.
À l’occasion, plusieurs partis politiques et la société civile ont été conviés. Parmi ces partis politique le parti congolais du travail (PCT) et l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), un parti de l’opposition étaient les mieux représentés quantitativement. De ce qui en ressort, l’opposition a eu pour requête la gestion du processus électorale et la mise en place d’un système d’enrôlement biométrique.
« Nous ne sortirons pas de Madingou les mains vides. Elles ne seront pas pleines non plus », a déclaré l’opposant Jean-Jacques Yhombi Opango.