Depuis 2017 les attaques des djihadistes ont fait plus de 700 000 déplacés qui ont abandonnés leurs logements. De nombreuses familles e retrouvent ainsi sans ressources pour subvenir à leurs besoins primaires. Une situation qui a entrainé la réaction des responsables du haut-commissaire des nations unies pour les réfugiés en visite dans cette région isolée du pays craignent une augmentation de l’insurrection.
En 2020, les scènes de violences se sont accrues occasionnant ainsi une crise humanitaire au Mozambique. Les autorités peinent à répondre aux besoins des populations. Le Gouvernement a été taxé par des dirigeants du HCR.
« Il y a des tragédies d’un genre presque indescriptible. J’ai parlé aux femmes ici qui ont accepté de me parler et elles s’occupent des enfants d’autres personnes. J’ai parlé à une grand-mère dont la fille a été tuée pendant le conflit et le mari a été décapité, la grand-mère s’occupe maintenant de leur enfant. » a délcaré Gillian Triggs, Haut-Commissaire adjoint à la protection du HCR.
A ces violences viennent s’ajouter les caprices de dame nature, dont des inondations et de l’année 2020 et le cyclone Kenneth qui a frappé en 2019.