Suite à l’attaque terroriste qui a causé la mort de 100 civils au Niger, autorités ont décrété trois jours de deuil national. Après l’acte terroriste commis par des djihadistes , le pays a également renforcé son dispositif sécuritaire dans la zone frontalière du Mali.
Les faits, le samedi matin, les jihadistes sont venus à bord d’une « centaine de motos » dans les villages de Tchoma Bangou et Zaroumadereye, d’après les informations que transmet le maire de la commune rurale de Tondikiwindi qui les administre, Almou Hassane.
A ce jour, aucune revendication officielle n’a encore été émise après cette attaque survenue entre les deux tours de la présidentielle au Niger, ni concernant la pose d’une mine artisanale qui a tué le même jour deux soldats français à Ménaka. Par ailleurs, le ministre de l’intérieur nigérien Alkache Alhada, a aussi annoncé la tenue de forums pour apaiser les tensions entre communautés et le don de nourriture aux populations touchées.